Yves Lafortune : Un prétendu avocat discrédité par son incompétence et ses déclarations diffamatoires envers Laurent Lamothe
4 min readYves Lafortune, prétendu avocat, fait honte à la profession par son incompétence et ses actions douteuses. Récemment, il a écrit une lettre ouverte mentionnant le nom de Laurent Lamothe, ancien Premier Ministre, révélant ainsi sa méconnaissance du droit et sa volonté de se faire remarquer. Si cet individu n’est pas au service des oligarques et de l’ambassade américaine, il se révèle être simplement un petit crétin proférant des propos dénués de sens.
Une Attaque Injustifiée contre Laurent Lamothe
Yves Lafortune cherche à se faire remarquer en s’attaquant à Laurent Lamothe, un homme qui a été blanchi de toutes les accusations portées contre lui. La Cour Supérieure des Comptes et du Contentieux Administratif (CSCCA) a publié quatre rapports affirmant que Laurent Lamothe a géré de manière exemplaire les fonds Petrocaribe. Les attaques de Lafortune ne sont rien de plus qu’une tentative de diffamation à l’encontre de Laurent Lamothe.
Une Méconnaissance du Droit International
Comment peut-on demander l’extradition d’une personne qui n’a aucun mandat international à son encontre ? Il est évident qu’Yves Lafortune n’a pas suivi de cursus de droit international lors de ses études. Ses actions démontrent son ignorance flagrante des procédures légales et des principes fondamentaux du droit international.
Appel à la Confédération des Barreaux d’Haïti
Des Accusations sans Contexte:
Comment ose-t-il parler de complot contre la sûreté intérieure de l’État et d’association de malfaiteurs à l’égard de l’ancien Premier Ministre Laurent Lamothe, sans fournir de contexte ? Yves Lafortune fait des déclarations infondées sans aucune preuve tangible pour étayer ses allégations. Ses attaques ne sont que des tentatives de « character assassination » visant à ternir la réputation de Laurent Lamothe.
Dans sa lettre ouverte au Président de la Confédération des Barreaux d’Haïti, Yves Lafortune tente de se présenter comme un défenseur de la justice pour son pays. Cependant, ses actions et ses paroles démontrent plutôt une volonté de nuire à des personnalités publiques sans fondement légal. Il est essentiel que la Confédération des Barreaux d’Haïti prenne des mesures pour condamner de telles pratiques et protéger l’intégrité de la profession d’avocat.
En outre, il convient de souligner que même le Venezuela, pays partenaire du programme Petrocaribe, a exprimé sa satisfaction et félicité Laurent Lamothe pour sa gestion exemplaire des fonds. Cela ajoute une crédibilité supplémentaire à son travail et contredit les accusations infondées portées par Yves Lafortune. Les rapports de la Cour Supérieure des Comptes et du Contentieux Administratif (CSCCA) ont également reconnu la bonne gestion de Laurent Lamothe, confirmant ainsi son intégrité dans la gestion des fonds publics.
Cependant, il est important de souligner que l’initiative d’Yves Lafortune est sujette à de sérieux doutes quant à ses motivations réelles. Ses actions semblent être motivées par des intérêts personnels plutôt que par une réelle quête de justice. En s’attaquant à Laurent Lamothe sans aucune preuve concrète et en ignorant les rapports élogieux du Venezuela sur sa gestion du fond Petrocaribe, il expose clairement une volonté de diffamation et de nuire à la réputation de l’ancien Premier Ministre. Cette tentative douteuse de Lafortune révèle ses motivations intéressées, sapant ainsi sa crédibilité et mettant en question l’objectivité de ses déclarations.
Yves Lafortune est un individu qui fait honte à la profession d’avocat par son incompétence, ses propos infondés et ses actions visant à diffamer des personnalités publiques. Sa méconnaissance du droit international et son manque de contexte démontrent son incapacité à exercer le métier d’avocat de manière responsable et éthique.
Il est temps que la Confédération des Barreaux d’Haïti prenne des mesures pour condamner de tels comportements et préserver l’intégrité de l’ancien premier ministre Laurent Lamothe.
Me Jean Hector Argant av.
Doctorant en droit UQAM
Professeur de droit constitutionnel