Le silence de l’ONU sur Jean Bertrand Aristide : Un oubli troublant

Récemment, le rapport de l’ONU sur la situation en Haïti a attiré l’attention pour une ombre intrigante : l’absence du nom de Jean Bertrand Aristide. Un oubli qui soulève des questions sur la crédibilité du document, étant donné le rôle controversé de l’ancien président dans la création du groupe de gangs « Chimère Lavalas ».

Le rapport mentionne Michel Joseph Martelly, mais omet curieusement Aristide, considéré par beaucoup comme le pionnier de la « gangstérisation » d’Haïti. Il est difficile de comprendre comment un individu impliqué dans des crimes tels que des enlèvements, des massacres et des assassinats ne figure pas sur la liste.

Aristide, en tant que créateur de la redoutable « Chimère Lavalas », a été associé à une série d’actes criminels qui ont semé la terreur parmi la population haïtienne. Pourquoi son nom n’a-t-il pas été inclus dans le rapport, malgré son rôle notoire dans la déstabilisation du pays ?

Des spéculations circulent sur un possible accord entre Aristide, les États-Unis et le Canada. Certains suggèrent que des arrangements secrets ont été conclus pour protéger son nom de toute répercussion internationale en tant que chef de gang. Ces allégations soulèvent des interrogations sur l’intégrité du processus de compilation du rapport de l’ONU.

L’absence de Jean Bertrand Aristide dans le rapport de l’ONU suscite des inquiétudes légitimes quant à la transparence et à l’objectivité de l’évaluation de la situation en Haïti. Il est impératif que la communauté internationale examine de plus près cette lacune troublante afin de garantir une représentation fidèle de la réalité complexe qui sévit dans le pays.