Complicité des États-Unis et du Canada : L’omission troublante du gouvernement d’Ariel Henry dans la demande de preuves pour les personnalités sanctionnées en Haïti
2 min readL’influence étrangère et l’absence de transparence sapent les efforts de justice et perpétuent l’impunité
Une question préoccupante se pose : pourquoi le gouvernement d’Ariel Henry n’a-t-il pas officiellement demandé aux gouvernements américain et canadien de fournir des preuves concernant les personnalités sanctionnées ? Cette omission souligne davantage le problème de l’impunité qui règne en Haïti et met en lumière une possible complicité du gouvernement d’Ariel Henry, sous l’influence des États-Unis et du Canada, dans un plan visant à appauvrir davantage le pays.
Le silence du gouvernement d’Ariel Henry concernant cette demande de preuves est troublant. Pourquoi n’a-t-il pas officiellement sollicité les États-Unis et le Canada pour obtenir les éléments de preuve nécessaires afin de poursuivre les personnalités sanctionnées ? Cette inaction soulève des doutes quant à la volonté réelle du gouvernement de lutter contre l’impunité et de garantir que les responsables de l’assassinat du président Moïse soient traduits en justice. L’absence d’une demande formelle renforce les suspicions et nourrit les spéculations sur d’éventuelles motivations cachées ou une complicité du gouvernement.
Il est indéniable que l’impunité a des conséquences dévastatrices pour Haïti. Elle mine la confiance des citoyens envers les institutions et engendre un sentiment généralisé d’injustice. En tolérant l’impunité, le gouvernement risque de perpétuer un cycle de violence et d’injustice, freinant ainsi le développement économique et social du pays. Si le gouvernement d’Ariel Henry ne prend pas immédiatement des mesures pour demander officiellement des preuves et poursuivre les coupables, cela ne fera qu’accentuer la perception d’impunité et renforcer la vulnérabilité d’Haïti face aux intérêts étrangers.
Il est essentiel que le gouvernement d’Ariel Henry prenne des mesures concrètes en demandant officiellement aux États-Unis et au Canada de fournir les preuves nécessaires pour permettre à la justice haïtienne de mener des enquêtes indépendantes et de traduire les responsables de l’assassinat du président Moïse en justice.
L’absence de cette demande formelle soulève des inquiétudes légitimes et renforce les soupçons quant à une possible complicité du gouvernement avec les influences étrangères.