Le comportement de la Police Nationale d’Haiti dans la gestion des demandeurs de passeports soulève des questions sur la manière dont les forces de l’ordre doivent traiter les individus dans un État de droit. En utilisant des chiens de garde pour discipliner les êtres humains, la police semble avoir franchi une limite qui rappelle les pratiques de la colonisation et de la ségrégation raciale aux États-Unis.
Cette décision d’utiliser des chiens de garde pour discipliner les gens est choquante, car cela rappelle une époque où l’on utilisait des animaux pour terroriser et intimider les populations autochtones ou les minorités opprimées. Cette décision n’est pas différente de ce qui s’est passé à la frontière mexicaine lorsque les cow-boys américains utilisaient des chevaux et des fouets pour maltraiter nos compatriotes haïtiens qui tentaient de traverser la frontière.
L’utilisation de chiens de garde pour discipliner les demandeurs de passeport est une pratique inacceptable qui rappelle des moments sombres de l’histoire de l’humanité. Les forces de l’ordre sont censées protéger les citoyens, pas les maltraiter ou les intimider. Cette pratique doit être immédiatement abandonnée et les forces de l’ordre doivent être formées à l’utilisation de techniques de communication non-violente pour gérer les situations difficiles.
Il est important de souligner que les individus ont le droit de demander un passeport et que la police doit respecter ce droit sans porter atteinte à leur dignité ou à leur intégrité physique. Les demandeurs de passeport méritent d’être traités avec respect et dignité, sans être victimes de la brutalité ou de l’intimidation de la part des forces de l’ordre.
Bonjour