Toujours interrogé sur RTL, le candidat d’extrême droite a pris position sur les conséquences migratoires de la guerre en Ukraine en considérant « qu’il n’est pas bon de déstabiliser la France, qui est déjà submergée par l’immigration », et qu’il refuserait ainsi l’accueil de réfugiés ukrainiens en France.
« Je pense qu’il nous faut aider les Polonais à les accueillir avant que les populations ukrainiennes rentrent chez elles », estime-t-il, en proposant que « la Commission européenne lève les sanctions financières » à l’encontre de Varsovie (qui n’ont rien à voir avec la guerre en Ukraine mais ont été prises à la suite du conflit qui oppose Varsovie et Bruxelles sur le respect de l’Etat de droit et l’autorité de la Cour de justice de l’Union européenne).